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« Aux Fontaines, il n’y a pas de bus, on est en colère ». « La Mallieue, c’est coupé de tout ». « On va jamais à Engis, on ne connaît pas ». « A Clermont, c’est chez les riches ».

 

Des clichés, des souhaits, des réalités, des perceptions, des souvenirs parfois faussés. Une carte subjective, c’est l’occasion mettre sur papier l’image qu’un groupe a d’un territoire, d’un village, d’une commune. Une photographie forcément subjective : cette carte représente une vision : elle ne se base pas sur des données réelles, mais sur l’impression qu’ont les personnes du territoire donné.

 

Une carte subjective est aussi un prétexte pour se raconter ou raconter aux autres son quartier, son territoire, ses chemins. Elle met en image le « vivre ensemble » d’un territoire.

 

Dans un second temps, l’exposition des cartes permet de susciter un débat informel sur la ville et le vécu des habitants.

 

Nous sommes allés à la rencontre de plusieurs groupes de citoyens qui, au travers leur quartier, leurs origines ou leurs conditions de vie, nous ont démontré que la perception de la commune était souvent bien différente pour les uns et les autres. Ou pas, selon les aspects abordés.

Carte subjective : ma vision d’Engis

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